Sommes-nous irraisonnables, nous qui rejetons I’évolutionnisme comme une hypothèse non prouvée, parce que nous refusons d’accepter les « preuves » apportées par les évolutionnistes pour soutenir la proposition selon laquelle tout organisme vivant est relié au reste de la création par une relation de sang ? Une telle proposition incroyable doit certainement être corroborée par des faits avant de pouvoir s’imposer à I’esprit d’un être rationnel.
 
Ce n’est pas nouveau de la part des évolutionnistes de déclarer que leur hypothèse a été aussi clairement établie que la loi de la gravitation, dont chacun d’entre nous peut expérimenter la réalité quotidiennement. Mais que pouvons-nous dire quand il s’agit de la doc­trine selon laquelle toutes les espèces, par des forces intérieures inconnues et accidentelles, se sont développées graduellement à partir d’un ou de quelques germes vivants, eux-mêmes issus de la matière inerte il y a de cela des millions ou des milliards d’années ? Une telle proposition incroyable, peut-elle être démontrée comme étant vraie de la même façon que la loi de la gravitation ?
 
Pourquoi devons-nous croire que toutes les espèces proviennent les unes des autres, quand on n’a pas encore démontré qu’une seule espèce provient d’une autre ? Si c’était vrai, chaque mètre carré de la terre doit renfermer des preuves de ce changement. L’absence totale de preuves est la preuve la plus forte que I’évolutionnisme est un mythe !
 
Une longue série de découvertes scientifiques de ces cinquante dernières années ont défié et défient toujours le dogme darwinien. Et toutes ces découvertes, dans les domaines de la cosmologie, de la physique et de la biochimie, ont révélé de nouvelles données qui indiquent une conception intelligente de I’univers. Récemment, 300 scientifiques éminents, diplômés d’institutions aussi prestigieuses que Stan­ford, Harvard, Yale, Rutgers, Princeton, Cambridge, etc. ont signé ce qu’ils ont appelé la « dissidence scientifique avec le darwinisme ».