Selon Darwin, l’homme s’est hissé au top de l’arbre de vie évolutif après des millions d’années de lutte pour sa survie. Mais malgré ses arguments labo­rieux, il n’y a pas de substance pour prouver l’existence de son arbre. Il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir son existence. L’origine commune de l’homme avec les ani­maux n’est qu’une invention de son imagination. Et ceux qui soutiennent cette vue malgré les preuves contraires sont aveugles au fait que des similitudes dans la conception n’est pas une conséquence d’une origine commune, mais la conséquence d’un Créateur commun.
 
Darwin et ses disciples ont renié les preuves du Créateur et se sont érigés une idole en forme d’un arbre de vie. Ses partisans ont embrassé, popu­larisé et appliqué ses idées pseudo-scientifiques en Angleterre, en Allemagne et en Amérique. Thomas Huxley était un vulgarisateur efficace de l’évolution darwinienne en Angleterre. Ernst Haeckel avança l’idée de l’évolution en Al­lemagne - qui en son temps trouva sa voie jusqu’aux chambres de gaz nazies. Francis Galton, un cousin de Darwin, inventa l’idée de l’eugénisme, qui devint populaire en Amérique. L’arbre de vie de Darwin était une idée très dangereuse - une idée qui tua des dizaines de millions d’hommes à travers le monde et qui continue de tuer encore aujourd’hui. Un mauvais arbre ne peut pas porter des bons fruits. Dans ce cas précis, les fruits sont pourris jusqu’à la moelle !
 
Il est très important de comprendre que l’évolution darwinienne n’est pas seulement en manque de crédibilité scientifique. Elle est le produit de la rébel­lion humaine contre le Créateur bienveillant. C’est une philosophie anti-Dieu, basée sur des affirmations métaphysiques et des histoires mythologiques, présen­tées comme étant de la science.
 
« Tous les livres sur l’anthropologie, tout article sur l’évolution de l’homme, tout dessin de l’arbre de la famille humaine doivent être jetés à la poubelle. Ils sont tous faux. » (Joël N. Shurkin, évolutionniste, He’s Shaking Mankind’s Family Tree, Boston Globe, 4 décembre 1973, p. 1.)