Les icônes évolutionnistes traitées dans ce livre : les fossiles et les fossiles vivants, les formes intermédiaires, les empreintes, les fraudes scientifiques, l’ « évolution » du cheval, l’Archaeoptéryx, le Vélociraptor, la phalène du bouleau, …
 
L’absence de nombreuses formes intermédiaires  exigées par le mythe évolutionniste est remarquable. Dès le début de leur apparition dans les archives fossiles, les onze grands types d’invertébrés sont complètement distincts les uns des autres. Ceci aussi est une preuve irréfutable qu’ils ont été créés séparément comme le dit le texte biblique. Si le dogme évolutionniste était vrai, nous ne devrions pas trouver ce témoignage. 
 
Et ceci est valable pour tous les fossiles, des invertébrés aux vertébrés, des poissons aux amphibiens, des amphibiens aux reptiles, des reptiles aux oiseaux, des oiseaux aux mammifères, des mammifères aux primates et des primates à l’homme. L’absence de formes de transitions entre les grands types d’animaux est universelle à travers la totalité des archives fossiles ! Il n’y a pas une seule exception ! 
Depuis 150 ans on n’a trouvé aucune forme de transition ! Pas de chaînons manquants ! Et nous pouvons être certains qu’on n’en trouvera jamais, à part les « fossiles » fabriqués par des gens malhonnêtes, comme il en existe déjà. Nous pouvons être sûrs que la « théorie » de l’évolution est une pure invention humaine. L’homme ne connaît jamais toutes les données des problèmes et son imagination remplace trop souvent la connaissance.
 
L’apparition soudaine des grands groupes d’animaux dans les archives fossiles est en parfait accord avec le récit biblique de la Création (soulignons-le encore une fois), mais complètement inattendue si l’on suppose l’évolution. Tout l’édifice de l’évolution s’écroule. Et plus on cherche, plus on se rapproche de la Parole de Dieu. L’idée évolutionniste de base même est fausse et malhonnête puisqu’en parlant de chaînons manquants on donne l’image d’une chaîne bien achalandée à laquelle ne manque qu’un chaînon pour qu’elle soit complète. Or, nous voyons que sur l’édifice de l’évolution il n’existe que des chaînons (groupes et espèces) tous isolés l’un de l’autre, et il n’y en a pas deux qui tiennent ensemble. Le ciment (formes de transition) manque complètement et l’édifice, construit à force d’imagination et de spéculations sans fin, s’écroule. Il n’y a pas de formes intermédiaires, elles n’ont jamais existé ! Dieu sait ce qu’Il dit !