Comme nous le savons depuis longtemps, les évolutionnistes ne peuvent trouver aucun exemple d’évolution ni dans le passé ni dans le présent, et ils ne peuvent non plus prouver que l’évolution puisse jamais se produire. Alors, il ne leur reste qu’à s’accrocher à des idées et à des théories folles et extrêmement farfelues. C’est dans cette perspective qu’il faut comprendre leurs « théories » des organes vestigiaux ou rudimentaires, l’anatomie comparée, ainsi que la fameuse fraude de la « récapitulation embryonnaire ».
 
« Puisqu’il est impossible d’identifier sans ambiguïté de structures inutiles, et puisque la structure de l’argument utilisé n’est pas scientifiquement valable, je conclus que les « organes vestigiaux » n’apportent aucune preuve spéciale pour la théorie de l’évolution. »(S. R. Scadding, évolutionniste, Evolutionary Theory.)
 
Robert Wiedersheim, un adepte allemand de Darwin, prépara une liste de 86 organes vestigiaux dans son livre publié en 1895. Cette liste contenait entre autres : les valves dans les veines, la glande pinéale, les organes lymphoïdes, les amygdales, l’appendice, la thyroïde, le coccyx et ainsi de suite. Quelques manuels scolaires des années 1960 donnent une liste de plus de 200 organes inutiles dans le corps humain. Selon une encyclopédie médicale publiée en 1967 il y a 180 organes ves­tigiaux dans nos corps. Selon les évolutionnistes, ces organes sont des « souvenirs » ancestraux, des restes de notre histoire évolutive. Ils se seraient atrophiés pendant notre lent processus de développement ascendant, et on supposait qu’ils n’étaient plus fonctionnels.
 
Le temps passant, les scientifiques se sont aperçu que cette liste n’a aucune valeur scientifique, puisqu’ils ont découvert que ces organes ont des fonctions importantes pour l’organisme humain.
Aujourd’hui on ne sait pas tout encore, mais on sait mieux. Cette liste inutile des 180 est descendue très bas est frôle le zéro. Et nous savons que quand elle sera à zéro, la connaissance sur ce sujet sera à son apogée.